Quelle limite pour vivre du poker ?
Introduction
Le poker est un jeu de cartes fascinant qui se joue en ligne, dans les casinos et à la maison. Il est également possible de vivre du poker en jouant régulièrement et en générant des revenus suffisamment élevés pour couvrir les frais de subsistance. Dans cet article, nous allons examiner quelle limite de bankroll est nécessaire pour pouvoir vivre du poker, combien d’argent il entre en jeu, et ce qu’il faut pour devenir un joueur de poker professionnel.
La bankroll pour vivre du poker
La première chose à considérer pour pouvoir vivre du poker est de savoir combien d’argent vous avez besoin pour jouer. La limite de bankroll dépend du niveau de jeu auquel vous souhaitez participer, du nombre de mois pendant lesquels vous voulez jouer, et du style de vie que vous souhaitez mener. En général, les joueurs de poker professionnels recommandent d’avoir au moins 20 à 30 fois le montant de la limite de la table où vous voulez jouer.
Par exemple, si vous voulez jouer à une table de 1 $ / 2 $, vous devriez avoir une bankroll d’au moins 2 000 à 3 000 $, et si vous voulez jouer à une table de 5 $ / 10 $, vous devriez avoir une bankroll d’au moins 50 000 à 100 000 $. C’est une exigence fondamentale pour pouvoir vivre du poker de manière professionnelle et stable.
Argent entrant en jeu pour vivre du poker
Le deuxième facteur à considérer pour pouvoir vivre du poker est de savoir combien d’argent vous pouvez gagner. Cela dépend du nombre de mois où vous voulez jouer, de votre niveau de jeu, de votre expérience et de votre capacité à gérer votre bankroll. Les joueurs de poker professionnels peuvent gagner de 100 000 $ à plusieurs millions de dollars par an en jouant régulièrement.
Cependant, il est important de noter que les résultats varient selon les mois et les années, et que certains mois peuvent être plus difficiles que d’autres. Par conséquent, il est important de gérer votre bankroll avec soin et de ne pas dépasser vos limites, même si vous avez une mauvaise série.
Devenir un joueur de poker professionnel
Pour vivre du poker, vous devez également avoir des compétences en matière de jeu et une solide connaissance des stratégies de poker. Les joueurs qui réussissent dans le poker ont généralement des années d’expérience et ont travaillé dur pour améliorer leur jeu en étudiant les livres de poker, en regardant des vidéos de poker et en jouant de manière régulière.
Il est également important de savoir gérer sa bankroll pour éviter de tout perdre en une seule session. Les bons joueurs de poker savent quand ils doivent abandonner une main et quand ils doivent continuer à jouer. Ils doivent également être capables de contrôler leurs émotions pour ne pas prendre de décisions impulsives.
Conclusion
En résumé, pour pouvoir vivre du poker, il est impératif de disposer d’une bankroll suffisamment solide pour jouer régulièrement, de connaître les limites de la table où vous voulez jouer, de gérer votre bankroll avec soin, d’avoir des compétences en matière de jeu et une bonne connaissance des stratégies de poker. Les joueurs de poker professionnels qui réussissent sont ceux qui travaillent dur, qui ont une solide discipline et qui sont capables de contrôler leurs émotions.
FAQ:
Q: Comment savoir si je suis prêt à devenir joueur de poker professionnel ?
A: Si vous avez une solide connaissance du jeu, des compétences en matière de jeu, une bankroll suffisante et que vous êtes prêt à travailler dur, vous pouvez envisager de devenir joueur de poker professionnel.
Q: Combien d’argent puis-je gagner en tant que joueur de poker professionnel ?
A: Les gains dépendent du niveau de jeu, de l’expérience, du nombre de mois où vous voulez jouer, et de votre capacité à gérer votre bankroll.
Q: Comment puis-je gérer ma bankroll lorsque je joue au poker ?
A: Vous pouvez gérer votre bankroll en fixant des limites de pertes et de gains, en ne jouant pas avec de l’argent que vous ne pouvez pas vous permettre de perdre, en réduisant votre limite de table si vous subissez des pertes, et en jouant régulièrement pour éviter les pertes dues à l’inactivité.